Avec le réchauffement climatique, les périodes de sécheresse sont plus fréquentes mais les jours de pluie aussi : en France, les précipitations ont augmenté de l'ordre de 10% au vingtième siècle. Du coup, le parapluie est devenu un objet symbolique de notre époque urbaine et climatiquement perturbée, il fait partie de notre paysage quotidien… au point que la plupart d'entre nous le considèrent comme un objet avant tout utilitaire, qui peut donc être acheté sur un coup de tête, dans la rue, pour se protéger d'une averse soudaine et être jeté tout aussi vite dès qu'il présente une faiblesse. Voici donc quelques repères pour passer entre les gouttes sans que le ciel ne nous tombe sur la planète !
• Faute de pouvoir acheter pour le moment le parapluie écologique Crayella (qui n'est pas commercialisé), évitez de multiplier les parapluies. En cas d'averse subite, pressez le pas, mettez votre manteau sur la tête (mieux encore : investissez dans un imperméable avec chapeau !), abritez-vous un moment si besoin, mais évitez de céder à la tentation du parapluie vendu dans la rue pour un ou deux euros… qui sera jeté aussi rapidement qu'il a été acheté, après qu'un coup de vent l'ait retourné par exemple. Investissez une fois dans un beau modèle, durable, que vous garderez longtemps !
• Et pour ceux qui ont investi dans un parapluie « made in France » mais qui se désespèrent face à l’usure de la toile ou des baleines, pensez à faire réparer votre parapluie plutôt qu’à en acheter un autre. Une petite boutique pleine de charme,
Pep’s répare votre parapluie pour 10€ à 20€. Vous ne polluez pas et en plus vous faites des économies !
Passage de l'Ancre - 223 rue St Martin - Paris 3ème