Initiée par Oxfam et Eathworks, la campagne « No dirty gold » a pour objectif d’alerter l’opinion et de sensibiliser les consommateurs aux impacts sociaux et environnementaux importants de l’extraction de l’or. Disponible en anglais seulement, le
site internet (en anglais) propose de nombreux documents, dont la brochure "What is the real price of gold ?" à télécharger ci-dessous.
Pour plus d'informations, vous pouvez aussi consulter leur récent rapport "Dirty Metals" à télécharger
ici en PDF.
Ce guide, désormais disponible en Français, a été édité par Amnesty International et Global Witness pour orienter les choix des consommateurs qui ne veulent plus acheter les « diamants du sang » à l’origine douteuse et qui financent les guerres civiles dans les pays producteurs.
L'industrie du luxe n’a pas été particulièrement rapide à se positionner sur les enjeux du développement durable, mais il y a urgence, selon les auteurs de ce rapport publié par la branche anglaise de WWF, car le luxe est désormais confronté à des challenges particuliers qui forcent l'émergence de pratiques plus responsables. Ces challenges sont analysés dans le rapport, qui propose aussi une "charte de bonne conduite" aux stars qui incarnent les marques de luxe, ainsi qu'un classement des marques qui place dans le trio de tête L'Oréal, Hermès et LVMH (avec une note C+ qui reste optimisable), reléguant en bas de classement des entreprises comme PPR ou, pire encore, Bulgari et Tods.
Le rapport et toute une série de documents complémentaires sont disponibles sur le site dédié : www.deeperluxury.com